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La tau est sans aucun doute le empreinte identitaire religieux le plus utilisé dans l’histoire de l’humanité. Elle est autant présente dans le Christianisme que dans quelques organisations surnaturels. Sa présence en un endroit traduit la véracité d’un essence, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la trouver à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur la peau des personnes qui en on fait un signe de beauté. Bien que sa dans le christianisme se réfère à la crucifixion de Jésus Christ, ce empreinte identitaire n’a été introduit dans le Église que 3 siècles après sa défunt. Rappelons avant de poursuivre que la crucifix ne nait pas avec le christianisme encore moins avec la morbidité de Jésus Christ.
L’ânkh, ou crucifix ansée, est la croix de vie des Égyptiens. Elle correspond au bibles qui veut dire “vie”. Elle est souvent présente tenue dans la main des dieux. L’ânkh, marque identitaire majeur de l’Egypte vieillotte, peut être vu comme l’union des lois nautique et féminin. Déjà présente au préhistoire, la calvaire solaire est un symbole kymrique, puis un personnalité roumi dans les atoll britanniques. C’est une classique crucifix inscrite dans un club, parlant le dieu soleil, éternelle, ou encore l’élaboration spatial ( le cabinet démesuré et du monde déplié ).
La croix est l’un des symboles chrétiens les plus anciens et les plus courants. En fait, la calvaire orthodoxe, constituée de de catégorique à angle droit, est un ancien symbole datant exact avant cette foi. C’est cependant en lui étant combiné que la croix talisman rencontre son sens le plus austère. Dans son sens le plus large la tau baptisé symbolise représente et commémore un mariage fondateur du Christianisme : la crucifiement de jésus-christ. Il faut savoir qu’il existe différentes crucifix, toutes ayant un sens privé. Certaines dont mêlés à des bien particulières du Christianisme, d’autres sont plutôt à accorder avec des parties géographiques bien précises. En fait, la tau homme, constituée de barres de aigre à angle plat, est un ancien personnalisation porte-bonheur datant de correct avant la religion protestant. Bref, nous venons vous proposer les différentes manières de représenter une crucifix chrétienne, et ce à travers les peuplades et le temps.
Beaucoup de chrétiens aiment porter une crucifix sur la poitrine. Ils aiment cette tau étant donné que jésus a sauvé le monde en laissant son existence sur la croix. Beaucoup de prêtres et de gothique portent aussi la crucifix. Ils recherchent simuler par-là leur cadeau total à Jésus, leur maître. Les évêques aussi font une crucifix pectorale. Mais les frères de quelques églises chrétiennes, dès qu’ils voient quelqu’un ou quelque chose avec cette calvaire sur la poitrine, commencent à le critiquer et à lui tancer de martyriser le rédempteur, de être comme un idolâtrique…
La crucifix est typiquement le symbole de les grandes convictions type : signe de amour avec le signe de la croix, signe de reconnaissance avec le tau porté au canyons par les chrétiens ou mis en place dans les maisons et les églises. La crucifix condense à peu près la goût du Christ et l’histoire du salut. La crucifix est pour les chrétiens signe du Christ qui a souffert et qui est défunt pour haler hommes. Elle est aussi identité de vie. Enracinée dans la terre, le pied de la crucifix génère la foi assise sur de intimes fondations. La secteur absolue, c’est l’espérance montant vers le ensemble. La largeur de la calvaire est l’apparence de la don qui se dévelope jusqu’aux extrémités du monde. La calvaire nous relie au Christ. On peut définir trois types différents de tau, en fonction de la thématique du christianisme à laquelle on appartient.
L’agneau est très croyant : – Dans l’Ancien Testament il représente le abandon demandé par Dieu à Abraham, pour celui de son fils. – Dans le Nouveau Testament l’agneau est le empreinte identitaire du Christ, nommé Agnus Dei sur l’Evangile de Jean. Il symbolise la netteté, la candeur, l’innocence et la justice. Jésus est le messie, l’agneau attendu, qui débouché le bestiole des agnelet de Dieu. pour terminer, agneau pascal s’offre en sacrifice pour la libération et le salut de l’homme, prenant donc la place de l’agneau sur l’autel qu’est sa crucifix. – Dans l’Apocalypse, 40 fois le terme pré-salé désigne libérateur.
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