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Industrie 4. 0 représente la réorganisation et le pilotage global des réseaux interconnectés de la chaîne de valeur à l’ère de la quatrième révolution industrielle. concrètement, il s’agit d’une approche globale des besoins de chaque client, de l’utilisation de données en temps réel et de la prise en compte du bilan environnemental dans le process de fabrication. Ceci repose sur l’utilisation en temps réel des données ( « Big Data » ) jusqu’ici non connectées, produites par la mise en réseau de chaque les entités impliquées dans la création de valeur.
Au 19e siècle, l’europe et les États-Unis connaissent de grandes transformations économiques et sociales. Stimulés par les avancées techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, de la même manière que le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui composent rouler plus vite les idées et les nouvelles. La croissance extraordinaire des villes fait de cet âge industriel une ère prodigieuse. La première révolution industrielle est généralement présentée comme le résultat technique accompli à la fin du 18e s. et au début du 19e s.. Ainsi l’apparition et l’amélioration de l’appareil à vapeur d’eau en 1769, inventée par la langue anglaise James Watt permet d’actionner d’autres machines et change radicalement les solutions de génération. Cette période marque manifestation de la mécanisation qui érigera la manufacture de produit industiel en fondements de la structure économique de l’entreprise, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur pro permet d’apporter à disposition une énergie nouvelle qui permettra de donner une poussée aux réseaux ferroviaires et aux partenariats financiers.
La numérique signifie tout d’abord de peindre au sein de nos propres sites de fabrication les meilleures pratiques du marché. Par exemple, le transfert sans interruption des données de l’ingénierie et ensuite vers l’industrialisation et enfin vers la constitution. Cela évite, parmi d’autres choses, des coûteuses et longues étapes de réinjection de données. Cette transformation permet de plus de réduire le time to market* de nos clients, à qui nous présentons des solutions d’automatismes et des logiciels. C’est une demande forte du marché et nous devons y répondre. enfin, dans la façon de faire marcher nos espaces techniques, la transformation numérique doit nous donner plus de flexibilité de production, une plus grande capacité à parler des produits de plus en plus variés, avec une économie de matières et d’énergie.
Le déclin industriel français ne date pas d’hier. Les années 90 s’ouvrent sur une chute brutale de la constitution manufacturière : -12, 5% entre le premier trimestre et le 4ème trimestre 93. L’économie française comme celles des autres pays avancés tombe en récession. Récession amplifiée, en France, par le durcissement de la politique monétaire : les taux d’intérêt flambent et les entreprises comme les foyers doivent se désendetter d’urgence. Cela met à terre la construction, un débloqué majeur de l’industrie, ce qui insiste sur sa chute.
Mais les conditions de travail ne sont pas roses. En plus de la déqualification des tâches, la modification de la loi sociale ( augmentation de la durée légale du temps de travail, travail de nuit, etc. ) détériore les relations dans les ateliers. Des déplacements revendicatifs vont apparaître notamment en 1917 contre l’inégalité des revenus, la fatigue le résultat du cadences élevées, l’absence d’initiative, la répétitivité des réflexes, etc. Pour les tensions, l’etat va créer pour les usines de guerre des Comités permanents de conciliation et d’arbitrage régionaux élaboré de délégués ouvriers et de dirigeants. De leur partie, les industriels misent sur le paternalisme et essaient de conseiller leurs personnes à combattre les difficultés du quotidien en aidant le ravitaillement, le logement, ou la garde des enfants.
Latécoére inaugurait en mai dernier sa toute nouvelle usine 4. 0 à Montredon, régionnalement toulousaine, une structure destinée à satisfaire d’autant plus ses clients en réduisant le temps de production des pièces faites. Au programme : des solutions RFID ( Radio Identification ), un suivi en temps réel des stocks, des opérations digitalisées avec certitude ( zéro papier ), une autonomie de 18h de ses machines et surtout un déchargement – chargement – contrôle des pièces robotisé. Cette smart factory représente avec ses 6000m2 37 millions d’euros d’investissement et est maintenant le signe de la modernité de Latécoère. Totalement digitalisée et connectée, la société vante même le jumeau numérique de son nouveau centre de production, un site permettant la mise en situation continue des flux de fabrication et des conséquences sur l’optimisation de l’atelier la traçabilité des pièces ou aussi la planification de la sauvegarde.
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